5e édition d’Algest accueillera  de nouveaux secteurs potentiellement demandeur de sous-traitance

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Le Salon international de la sous-traitance se tiendra du 21 au 24 novembre au niveau de la Safex, accueillera 92 exposants dont deux secteurs nouveaux potentiellement demandeur de sous-traitance locale permettront de nouveau le développement d’un tissu de PME dans le secteur de la sous traitance industrielle, selon Mr Kamel Agsous qui s’est exprimé  en ce jour, 13 novembre sur les ondes de la chaine 3 dans l’invité de la matinale.

Alléger la facture d’importation de Sonatrach et Sonelgaz grand pourvoyeur de la pièce importés, qui se chiffre à plus de 1,5 milliard de dollars, ces gros donneurs d’ordre à l’instar d’autres cimentiers, du secteur de la sidérurgie, du transport ferroviaire et autres du secteur de la mécanique pourraient à terme changer le paysage de l’industrie de la sous-traitance et voir sa participation au Pib à la hausse et même plus conséquente.

Si le secteur mécanique a été depuis peu ouvert au secteur privé, par le changement de carte et l’assemblage des véhicules par des acteurs  privé, celui de la sous-traitance sera sûrement porté dans l’avenir par ceux-là. Evidement, il faudra un accompagnements par de ces futurs constructeurs pour intégrer l’échelle des valeurs internationale, en aidant les entreprises Pme locales de sous traitance à créer des partenariats avec leurs équipementiers respectifs de première monte.

Mais tout le monde s’accorde que le développement de cette sous-traitance  peine à décoller, et ne se fera pas du jour au lendemain à partir du moment que le dossier de montage des véhicules en Algérie traine en longueur et n’est pas encore clôt, dans la mesure ou l’effet volume n’est pas encore arrêté d’avance, ceux qui en soit freine l’intérêt des équipementiers à se bousculer au portion de l’Algérie. Il est certes que la vision actuelle, portée par le processus d’intégration imposé par un cahier des charge visité et revisité, les choses évolueront crescendo au rythme 3, 5 +5 ans  pour atteindre des taux d’intégration de 70% , à ce titre, il faudra 10 ans pour construire une véritable industrie automobile.

Aujourd’hui si on s’en tient au secteur de la mécanique, toutes les industrie naissante lancé actuellement sont dans une vision de satisfaire le marché locale, ce qui en soit ne leur impose pas encore d’être compétitive en prix et qualité, ce qui en soit, n’impose pas une intégration de la sous-traitance rapidement

D’ailleurs en 2017, pendant quelque mois, les pouvoirs publique ont fortement réagit et indexer le prix élevé des automobiles montées en Algérie, dont la facture des  kits  était plus  onéreuse que celle des importation des véhicules, mais le client n’a pas le choix, il est contraint d’acheter sa mobilité. Cette vision  souscrite de satisfaire d’abord un  marché locale à moyen terme, n’impose pas des investissements immédiat dans la sous-traitance. Ces même constructeurs sont conscient de ces enjeux, ils auront recours  à la sous-traitance une fois qu’ils seront contraint par une concurrence internationale lors des exportations.

 

 

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