L’automobile sous contrôle en valeur et en volume : Le marché s’établira à 1 milliard de dollars
Les licences d’importation des véhicules tant attendues pour libérer le commerce automobile de nouveau a été un soulagement de pouvoir de reprendre l’exercice mais en même temps l’annonce des quotas pour chaque marque a provoqué de la colère chez certains concessionnaires et a augmenté l’angoisse de certaine marque qui n’ont pas encore reçu leur agreement.
A première vue des chiffres énoncés ici et là, qui ne se concordent pas chamboule l’échiquier du classement des performances par marques les plus vendues sur le marché. Le contingent et la répartition des quotas a brouillé toutes les cartes du fonctionnement d’un marché libre ou le client est le maitre à bord.
Le contingent quantitatif d’importation des véhicules a été, finalement, réduit de presque moitié à 83.000 unités pour l’année 2016 dans le cadre des licences d’importation, a fait savoir, lundi à Alger, le ministre du Commerce, Bakhti Belaïb. La nouvelle est tombée tel un couperet. Il fallait s’ y attendre, une première opération de toilettage du marché a été engagé par l’entrée en vigueur en avril 2015, du cahier des charge qui réorganise l’activité en imposant de nouvelles règles relatives au respect des normes de sécurité et de l’obligation d’importation auprès des constructeurs et soumis les concessionnaires à un nouvel agrément dont de nombreux cas voir même des grand groupes n’ont toujours pas reçu leur agrément pour exercer aussi bien dans le secteur automobile, Poids lourds que de l’engins selon les déclaratifs des concernées. Une question s’impose qu’à deviendra des marques non agrées encore par le ministère de l’industrie ?
Les pouvoir public par soucis d’équilibrer la balance commerciale à savoir de faire fondre le marché de 7 à 1 milliards de dollars risque de laisser pour compte tout un pont économique fortement employeurs. Des plans sociaux ont déjà été mis en place en 2015 et 2016 par plusieurs concessionnaires qui ont poussé à des départs volontaires et fermeture des agents dans leurs réseaux.
D’autres licenciements suivront suite à l’annonce des quotas, craignent certains employés qui se sentent déjà dans le viseur de leurs patron : « tbki yemak ou ma tbkich yema », nous confia un employé qui a repris la réflexion de son patron, qui est contraint de compresser au vu de la réduction de ses volumes de ventes.
Une chose est sûre la réduction des volume de l’import incitera les investissements industriel, se maintenir seulement en comptant sur le commerce est désormais plus possible, la seule voix de sauvetage est l’autre cahier des charges pour introduire l’activité d’investissement industriel dans la filière véhicules qui tarde a être publié. Certains concessionnaire qui se sont lancés n’avancent pas pour autant sur leur projet qui sont encore à l’état embryonnaire nous soutiendra un responsable marketing d’une marque des véhicules lourd.
Les engins de travaux publics ainsi que les véhicules importés par des professionnels à titre individuel, c’est-à-dire pour le fonctionnement de leurs entreprises, ne sont pas soumis à ce régime d’importation. Il faut savoir que les concessionnaires sont tenus respecter, le nombre de véhicule et la valeur correspondante (coût et fret) mentionnés sur la licence, les marques mentionnées sur leurs agréments délivrés par le Ministère de l’Industrie et des Mines et la structure de leurs flux traditionnels par positions tarifaires mentionnées sur la demande (véhicules touristiques, véhicules de transport de personnes et véhicules de transport de marchandises
83 070 véhicules répartis sur 16 concessionnaires
Selon le listings est information recoupé par concessionnaire les 83 000 véhicules autorisé sont répartit à Renault (15 000), Sovac (11 000), Peugeot (7000), Toyota ( 8000), Kia (6 800), Hyundai (3 140), Cima (4 700), Diamal ( 2 700), Saida Citroën (2 400), Nissan (830), Mitsubishi (500),GMS (300), Akbou auto (300), Fonton (300).
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